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Ion Tiriac
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Georges Goven
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Ion Tiriac
 
Georges Goven
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Mannarino, une aversion rarissime pour la terre battue Entendons nous bien, la carrière d’Adrian Mannarino est très honorable. Le français, 20e mondial cette semaine, réalise encore de très belles choses sur le circuit ATP (huitième de finaliste du dernier Open d’Australie en faisant notamment tomber Ben Shelton et Stan Wawrinka). Cela dit, comme souvent, le joueur de 35 ans ne vit pas très bien l’arrivée de l’ocre. Après des débuts manqués à Madrid (défaite 6-0, 6-4 face à Auger-Aliassime), le gaucher n’a pas réussi à se rassurer à Aix-en-Provence (battu 6-2,6-2 par Gasquet). L’aversion du français pour la terre battue se confirme une fois de plus. Une telle incapacité à remporter des matchs sur une surface, surtout pour un joueur de sa catégorie, est quand même rarissime. “Jeu, Set et Maths” vient, à ce sujet, de publier une statistique plus qu’édifiante. Parmi tous les joueurs ayant disputé au moins 50 matchs sur terre battue (depuis 1990), le Français a tout simplement le pire ratio de victoire (21,9%).
A Madrid, Rublev s’est retrouvé : “Mentalement, je me sens beaucoup mieux” On n’arrête pas de le dire mais rien ne laissait croire qu’Andrey Rublev serait sur le court ce dimanche pour viser le titre en Espagne. Après un bon début de saison (14 victoires en 18 matchs), le Russe a connu une véritable traversée du désert. Disqualifié pour propos injurieux à l’encontre d’un juge de ligne lors de sa demi-finale face à Bublik (à Dubaï), le natif de Moscou a enchaîné les défaites inattendues (4 défaites d’affilée, le tout sans gagner le moindre set). Oui mais voilà, Madrid a tout changé. Retrouvant de superbes sensations, le numéro 8 mondial impressionne. Porté par un service monstrueux et des frappes de fond de court incisives, le Russe enchaîne les victoires (un seul set de perdu - face à Alcaraz en quarts). Questionné sur ce magnifique renouveau, Rublev explique que ce retour de flammes est dû à une fraîcheur mentale retrouvée : “C'est certain. Mentalement, je me sens beaucoup mieux. J'ai été capable de jouer en mettant mes émotions dans la bonne direction. Cela m'a aidé à être en finale. Sans cela, je ne serais pas en finale.” En finale (ce dimanche, pas avant 18h30), Andrey Rublev va défier Félix Auger-Aliassime. Interrogé sur ce duel, le Russe, bien mieux classé que son futur adversaire, a tenu à calmer le jeu : “Je ne vois pas les choses de cette façon. Parce que je sais que Félix était dans le top 10. Il n'a pas joué pendant un certain temps l'année dernière. Il joue maintenant de mieux en mieux. Nous avons joué au début de la saison. J'ai sauvé je ne sais combien de balles de match. Il a failli me battre. Lors des matches précédents, il m'avait également battu. [...] Je ne regarde jamais le classement parce que je connais les joueurs et leur façon de jouer. Juger en fonction du classement, au tennis, ça ne fonctionne pas comme ça.”
Héroïque, Swiatek remporte Madrid face à Sabalenka ! Dans un match d’une intensité folle, Iga Swiatek s’est adjugé le titre à Madrid en venant à bout d’une excellente Aryna Sabalenka (7-5, 4-6, 7-6 en 3h11). Passée par toutes les émotions, la numéro 1 mondiale a finalement pu lever les bras au terme d’un match exceptionnel en tous points. Après un premier acte où la Polonaise a su faire la différence au meilleur des moments (7-5), le match a tourné. Plus agressive que jamais, la Biélorusse a recollé à une manche partout avant d’être la première à breaker dans le dernier set (3-1). Toujours aussi calme, Swiatek ne s’est pas démobilisée et a immédiatement récupéré sa mise en jeu de retard (3-3). Dans une fin de match irrespirable où les deux joueuses se sont procuré des balles de sacre, c’est finalement la triple vainqueure de Roland-Garros qui a eu le dernier mot. S’écroulant sur le terrain à l’issue du match, Swiatek a laissé exploser ses émotions. Ce titre signifie en effet beaucoup pour la numéro 1 mondiale : non seulement elle prend sa revanche sur celle qui l’avait battue l’an passé mais surtout, elle remporte enfin un tournoi qui se refusait jusqu’alors à elle.
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